Qu'est-ce que la cybercriminalité ?
La cybercriminalité recouvre tout crime commis principalement à l'aide d'Internet et des technologies de l'information (via un smartphone, ou un oridnateur).
L'un des crimes les plus dangereux pour les enfants sur Internet est la pédocriminalité perpétuée via notamment les réseaux sociaux.
Prédateurs sexuels et pédophiles utilisent largement les réseaux sociaux pour partir en chasse. Ils usent de nombreuses stratégies pour éviter d'être démasqués comme l'usurpation d'identité qui leur permet de se faire passer eux-mêmes pour un enfant d'un âge équivalent à leur proie avant de les approcher plus facilement (technique appelée du grooming).
En tant que parent, il est important de rester vigilant face à ce danger qui touchent les enfants au travers de l'outil qui leur est le plus familier : leur smartphone...
L'un des crimes les plus dangereux pour les enfants sur Internet est la pédocriminalité perpétuée via notamment les réseaux sociaux.
Prédateurs sexuels et pédophiles utilisent largement les réseaux sociaux pour partir en chasse. Ils usent de nombreuses stratégies pour éviter d'être démasqués comme l'usurpation d'identité qui leur permet de se faire passer eux-mêmes pour un enfant d'un âge équivalent à leur proie avant de les approcher plus facilement (technique appelée du grooming).
En tant que parent, il est important de rester vigilant face à ce danger qui touchent les enfants au travers de l'outil qui leur est le plus familier : leur smartphone...
6 conseils aux parents pour protéger son enfant ?
Il existe différentes façons de protéger un enfant de ces prédateurs.
- CONSEIL #1 : Le premier conseil et le plus simple est de respecter l'âge légal d'accès aux réseaux sociaux et d'empêcher son enfant de créer un compte avant la "majorité numérique", qui était de 13 ans et s'élève depuis la Loi promulguée du 7 Juillet 2023, à 15 ans : âge avant lequel l'enfant doit demander l'autorisation à ses parents pour la création d'un compte. Au-delà, il pourra créer son compte seul.
- CONSEIL #2 : Le second est d'instaurer un contrôle parental efficace sur le smartphone de son enfant : celui-ci permettra notamment de conditionner le téléchargement d'une application (par exemple un réseau social) à l'autorisation parentale; ce qui permet de filtrer les téléchargements et donc les accès à des applications et contenus non souhaités. Par ailleurs, le contrôle parentale permet de définir une durée d'utilisation du smartphone et des horaires d'accès : très pratique pour limiter les accès et en finir avec les débats sans fin autour du "trop d'écran" qui est finalement rarement quantifié. Ici, vous définissez la durée souhaitée et quand le temps est écoulé ou l'heure paramétrée est atteinte, un message s'affiche sur le smartphone pour avertir l'enfant de la fin d'utilisation. Coté pratique : malgré le blocage, les appels dits "d'urgence" peuvent quand même être émis. Il existe plusieurs applications de contrôle parentale : gratuites ou payantes. Les opérateurs Internet proposent fréquemment cette fonction dans leur offre. L'offre de Google Family Link est quant à elle gratuite et pratique quand on a déjà un compte chez Google et très complète.
- CONSEIL #3 : Vérifier l'identité d'un nouvel ami. Demander à votre enfant en quelques questions de vérifier qui est derrière le profil virtuel, c'est l'aider à démasquer d'éventuels usurpateurs. L'inciter à n'accepter que des amis de la "vraie vie" comme amis est aussi un moyen efficace de faire du tri. Et de toutes façons, ne pas accepter de rendez-vous avec un inconnu, quelle que soit la raison.
- CONSEIL #4 : Informer son enfant sur les risques liés à l'usage des réseaux sociaux, ses dangers, c'est aussi l'aider à s'en prémunir. Et s'il ne devait retenir qu'une mise en garde, cela pourrait être que s'il fait face à une situation bizarre, gênante, choquante (ou si on lui demande de garder un secret); qu'il en parle systématiquement à ses parents ou un adulte de confiance.
- CONSEIL #5 : Consultez régulièrement l'historique d'utilisation d'Internet de votre enfant (certains contrôles parentaux permettent de voir le temps passé sur chaque application). Il s'agit ici de vérifier comment il utilise son temps et repérer d'éventuels comportements suspects. Il ne s'agit pas de le faire en cachette de votre enfant. Celui-ci, informé de ces vérifications que vous comptez faire sera sans doute plus vigilant pour son propre usage, ne souhaitant pas ni vous décevoir ni vous inquiéter.
- CONSEIL #6 : Transmettre les bonnes pratiques en matière de données personnelles; comme n epas renseigner ses corrdonnées (adresse, numéro de téléphone) sur Internet, ne pas donner son adresse à un inconnu, ne pas acheter seul un contenu sur Internet et supprimer les messages bizarres ou inconnus.
- CONSEIL #1 : Le premier conseil et le plus simple est de respecter l'âge légal d'accès aux réseaux sociaux et d'empêcher son enfant de créer un compte avant la "majorité numérique", qui était de 13 ans et s'élève depuis la Loi promulguée du 7 Juillet 2023, à 15 ans : âge avant lequel l'enfant doit demander l'autorisation à ses parents pour la création d'un compte. Au-delà, il pourra créer son compte seul.
- CONSEIL #2 : Le second est d'instaurer un contrôle parental efficace sur le smartphone de son enfant : celui-ci permettra notamment de conditionner le téléchargement d'une application (par exemple un réseau social) à l'autorisation parentale; ce qui permet de filtrer les téléchargements et donc les accès à des applications et contenus non souhaités. Par ailleurs, le contrôle parentale permet de définir une durée d'utilisation du smartphone et des horaires d'accès : très pratique pour limiter les accès et en finir avec les débats sans fin autour du "trop d'écran" qui est finalement rarement quantifié. Ici, vous définissez la durée souhaitée et quand le temps est écoulé ou l'heure paramétrée est atteinte, un message s'affiche sur le smartphone pour avertir l'enfant de la fin d'utilisation. Coté pratique : malgré le blocage, les appels dits "d'urgence" peuvent quand même être émis. Il existe plusieurs applications de contrôle parentale : gratuites ou payantes. Les opérateurs Internet proposent fréquemment cette fonction dans leur offre. L'offre de Google Family Link est quant à elle gratuite et pratique quand on a déjà un compte chez Google et très complète.
- CONSEIL #3 : Vérifier l'identité d'un nouvel ami. Demander à votre enfant en quelques questions de vérifier qui est derrière le profil virtuel, c'est l'aider à démasquer d'éventuels usurpateurs. L'inciter à n'accepter que des amis de la "vraie vie" comme amis est aussi un moyen efficace de faire du tri. Et de toutes façons, ne pas accepter de rendez-vous avec un inconnu, quelle que soit la raison.
- CONSEIL #4 : Informer son enfant sur les risques liés à l'usage des réseaux sociaux, ses dangers, c'est aussi l'aider à s'en prémunir. Et s'il ne devait retenir qu'une mise en garde, cela pourrait être que s'il fait face à une situation bizarre, gênante, choquante (ou si on lui demande de garder un secret); qu'il en parle systématiquement à ses parents ou un adulte de confiance.
- CONSEIL #5 : Consultez régulièrement l'historique d'utilisation d'Internet de votre enfant (certains contrôles parentaux permettent de voir le temps passé sur chaque application). Il s'agit ici de vérifier comment il utilise son temps et repérer d'éventuels comportements suspects. Il ne s'agit pas de le faire en cachette de votre enfant. Celui-ci, informé de ces vérifications que vous comptez faire sera sans doute plus vigilant pour son propre usage, ne souhaitant pas ni vous décevoir ni vous inquiéter.
- CONSEIL #6 : Transmettre les bonnes pratiques en matière de données personnelles; comme n epas renseigner ses corrdonnées (adresse, numéro de téléphone) sur Internet, ne pas donner son adresse à un inconnu, ne pas acheter seul un contenu sur Internet et supprimer les messages bizarres ou inconnus.
Si votre enfant est la cible d'un pédocriminel, que faire ?
Si votre enfant est informé de la nécessité de réagir et vous informer s'il est confronté à une situation comme mentionnée ci-dessus (et si votre relation est suffisamment qualitative et ouverte pour qu'il ose vous en parler), il pourra réagir seul ou avec votre aide selon son âge et la situation.
Voici quelques pistes (non exhaustives) de réflexes à avoir dans ce type de situation :
- S'il a vu des images dérangeantes ou choquantes, faire une capture d'écran des images dès qu'elles apparaissent (elles risque sinon de disparaitre rapidmeent ou d'être supprimées par leur auteur avant de pouvoir les exploiter).
- Signaler le problème sur des plateforme dédiées : soit directement sur l'application d'E-enfance, le 3018 (qui aura été préalablement téléchargée sur le smartphone, Android ou Apple ), soit au téléphone (même numéro). Le service est anonyme, confidentiel et gratuit et des psychologues et des juristes répondent tous les jours de 09h00 à 23h00 (heures de métropole) toutes les options de contact possibles ICI >
- Bloquer les contacts suspects et les signaler sur la plateforme du réseau social qui devrait être dotée d'une modération (fonction de contrôle par rapport à certains contenus)
Voici quelques pistes (non exhaustives) de réflexes à avoir dans ce type de situation :
- S'il a vu des images dérangeantes ou choquantes, faire une capture d'écran des images dès qu'elles apparaissent (elles risque sinon de disparaitre rapidmeent ou d'être supprimées par leur auteur avant de pouvoir les exploiter).
- Signaler le problème sur des plateforme dédiées : soit directement sur l'application d'E-enfance, le 3018 (qui aura été préalablement téléchargée sur le smartphone, Android ou Apple ), soit au téléphone (même numéro). Le service est anonyme, confidentiel et gratuit et des psychologues et des juristes répondent tous les jours de 09h00 à 23h00 (heures de métropole) toutes les options de contact possibles ICI >
- Bloquer les contacts suspects et les signaler sur la plateforme du réseau social qui devrait être dotée d'une modération (fonction de contrôle par rapport à certains contenus)
Quelques conseils en cas de cyberharcèlement
CONSEIL #1 : Limitez les risques en favorisant une connexion dans l'espace de vie familial (ce qui permet de garder un oeil sur l'usage qu'en fait l'enfant)
CONSEIL #2 : On ne le dira jamais assez : trouvez un contrôle parental qui vous convienne. Certains sont très simples d'utilisation et permettent d'éviter bien des ennuis.
CONSEIL #3 : Discutez avec votre enfant des échanges sur ses réseaux sociaux, sans être trop intrusif, mais en vous impliquant sur des sujets qui le sensibiliseront : les commentaires "méchants" sous des "posts", les partages de photos intimes ou de vidéos de bagarres, les règlement de compte sur les "groupes"... En partageant votre avis et en l'argumentant (vous l'inviterez à la réflexion et éveillerez son esprit critique - très utile pour rester lucide devant certains comportements problématiques).
CONSEIL #4 : Si les faits sont graves, une plainte peut être déposée et s'ils concernent une structure ou un établissement scolaire, celui-ci devra également être informé.
CONSEIL #2 : On ne le dira jamais assez : trouvez un contrôle parental qui vous convienne. Certains sont très simples d'utilisation et permettent d'éviter bien des ennuis.
CONSEIL #3 : Discutez avec votre enfant des échanges sur ses réseaux sociaux, sans être trop intrusif, mais en vous impliquant sur des sujets qui le sensibiliseront : les commentaires "méchants" sous des "posts", les partages de photos intimes ou de vidéos de bagarres, les règlement de compte sur les "groupes"... En partageant votre avis et en l'argumentant (vous l'inviterez à la réflexion et éveillerez son esprit critique - très utile pour rester lucide devant certains comportements problématiques).
CONSEIL #4 : Si les faits sont graves, une plainte peut être déposée et s'ils concernent une structure ou un établissement scolaire, celui-ci devra également être informé.
Un atelier pour le protéger et trouver l'équilibre sans interdire
Retrouver la sérénité et gérer avec pertinence et équilibre la question des fréquentations et des réseaux sociaux : c'est l'objectif de cet atelier-parent Elearning.
Ce que vous apprendrez dans cette formation :
!! OFFRE SPÉCIALE JOURNÉE DES DROITS DE L'ENFANT !!
Dans le cadre de cette journée, Familipsy propose une remise de 50% sur l'atelier Elearning.
Code promotionnel : utiliser le BON DE RÉDUCTION suivant sur la page de commande pour bénéficier de la réduction : JMDE2024
(valable jusqu'à la fin de la semaine)
Dans cet atelier-parent, vous découvrirez :
Informations pratiques et programme complet ICI >
Ce que vous apprendrez dans cette formation :
- Comment communiquer ses inquiétudes à son adolescent sans qu’il se braque ?
- Comment le mettre en garde, sans risquer qu’il se ferme ?
- Comment intervenir quand il semble impliqué dans une relation toxique ("mauvaise fréquentation") ?
- Comment le préserver face aux dangers liés aux réseaux sociaux ?
Source de conflit dans la famille, les fréquentations (et notamment sur les réseaux sociaux mais pas seulement) sont pourtant un sujet essentiel durant l’adolescence : comment donc trouver un équilibre et poser des limites cohérentes pour apaiser les conflits parents/ados ?
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(valable jusqu'à la fin de la semaine)
Dans cet atelier-parent, vous découvrirez :
- Les clefs de compréhension et les outils pour gérer au quotidien les fréquentations et les réseaux sociaux utilisés par les ados.
- Les clefs pour contrôler l'usage des réseaux sociaux sans complètement interdire et intervenir quand votre ado a une "mauvaise féquentation"
- Les repères pour établir des règles cohérentes et communiquer efficacement
- Des exemples concrets de situations du quotidien
- Des conseils pros et des pistes concrètes pour résoudre les conflits du quotidien
- Des exercices pratiques pour s'entrainer
Informations pratiques et programme complet ICI >
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